Raison possible du refus
d’un rituel de sorcellerie Vaudou
Voici la question Blog posée par Batiste
» Monsieur Nathaniel. J’ai a plusieurs reprises envoyés des emails. Pas de réponse. J’ai à plusueurs reprises appelé. Jamais disponible, toujours en messagerie. Ma demande a été faite début juin. Demande de rituel. Vous l’avez refusé au bout de quarante huit heure pour les motifs que nous connaissons. Depuis, je me suis je pense assez excusé et suis revenu vers vous mais je ne trouve que lettre morte. Peut être que par la biais de botre Blog aurai-je plus de chance d’eveiller votre intérêt ? «
Bonjour Batiste !
Pourquoi venir ici ? Certe je publie toutes les questions. Donc, vous connaissez les raisons de mon refus, implicitement lié à votre attitude. Cette dernière, nous a valu à tous deux un vigoureux échange téléphonique. Mais oublions l’aspect personnel et épidermique que je peux éprouver à votre encontre, partons sur un sens plus « académique« .
Mais tout d’abord, je ne réponds que très très rarement aux emails de mes clients, faute de temps. Alors imaginez à ceux de chieurs de votre genre ! Je ne reçois que sur rdv téléphonique. Un entretien est tarifé à 45€ pour 25 minutes. Je vous appliquerai, de fait, une taxe antipathie, qui portera le prix de cet entretien hors budget pour vous, m’évitant ainsi un ulcère à l’écoute de votre voix.
Revenons à présent au motif de mon refus d’exercer pour votre compte un rituel…
Pour qu’un rituel fonctionne, il faut certe que le commanditaire de l’acte soit doté d’une confiance absolue (dès le départ vous étiez donc hors jeu) mais aussi que le sorcier ou bokor soit doté d’une vraie envie d’aider la personne qui vient vers lui. Et là Don Batista, je vous avoue avoir un problème. Un Big One ! Si si chiquito, muy muy grande… Mira por aqui !
En effet, lors de ce fameux entretien téléphonique qui m’a, je vous en remercie, donné l’occasion de faire ressortir de ma mémoire certaines insultes bien placées issue de votre langue, le français, tout en en écoutant d’autres qu’il vous a sans doute aussi fallu dépoussiérer, je n’ai pas perçu, mais peut être était-ce alors une sorte de myopie intellectuelle qui m’avait alors atteint, d’engouement, de plaisir, de respect ni de volonté de vous aider en moi. Pas la moindre trace, nada de nada, queutchi’ !
Pire, vous savoir dans une telle « mierda » me remplissait de joie au fur et à mesure de nos échanges discourtois. Une nouvelle fois, je vous invite à vous tourner vers un confrère et peut être, je dis bien peut être, d’envisager de l’aborder sous un autre angle que celui employé avec moi.
Car l’irrespect dont vous avez fait preuve dès votre première communication, m’a fortement fait regretter le temps où, je vous aurai reçu en cabinet, bien avant l’ère d’Internet donc, où il est facile de se cacher derrière un écran.
Car là, Batiste,ma réponse ne ce serait pas faite attendre le moins du monde… Mais sans un mot, comme le mime Marceau. En plus speed.
Nathaniel Sorcier Vaudou